En 2002, cinq ans après « Volte/Face », il retrouve le cinéaste John Woo pour le très beau film de guerre « Windtalkers » (« Les Messagers du Vent »), un excellent film qui prouve que Nicolas est encore capable d’offrir de superbe prestation lorsqu’il est bien dirigé.
Nicolas Cage se découvre ensuite des envies de metteur en scène en passant derrière la caméra et réaliser son premier long métrage avec « Sonny ». Un drame dans lequel il filme James Franco en ex-délinquant en voie de rédemption, tandis que sa maman, tenancière d’une maison, voudrait qu’il reprenne du métier. Sans faire un flop, le film n’a pas marqué les mémoires et n’est même pas sorti en France.
Il est ensuite à l’affiche du tortueux « Adaptation » de Spike Jonze pour lequel il reçoit une nouvelle nomination aux Golden Globes et sa seconde nomination aux Oscars.
Il s’amuse ensuite en arnaqueur obsessionnel en compagnie de Sam Rockwell dans le divertissant « Les Associés » de Ridley Scott.
- « Si être acteur c’est jouer comme Sean Penn, je ne suis pas un acteur » :
En 2004, il ajoute une nouvelle corde à son arc en étant l’aventurier de « Benjamin Gates et le Trésor des Templiers », sorte de héros hollywoodien propre sur lui qui ressemble beaucoup à Indiana Jones, le souffle épique, la prestance d’Harrison Ford et la maestria de Spielberg en moins bien sûr. Un long métrage divertissant et un joli succès au Box-Office qui accouchera d’une suite aux recettes équivalentes en 2008 avec « Benjamin Gates et le livre des secrets ».