Portrait : Metallica – Ride the lightning
Ride the lightning Metallica Des mélodies Heavy metal, des rythmes nerveux issus du punk, des
The Crazy Man
Une carrière longue comme le bras qui aura connu des hauts et des bas, parfois très bas. Nicolas Cage c’est un jeu excessif, hyper expressif, un regard de fou dangereux dans « Volte/Face », des coiffures extravagantes comme dans « Les Ailes de l’Enfer » mais surtout une performance démente dans « Leaving Las Vegas » couronnée d’un Oscar du « meilleur acteur » et une classe incroyable dans le fabuleux « Lord of War ».
Le neveu de Francis Ford Coppola a traversé les années et les tempêtes hollywoodiennes grâce à son charisme à toute épreuve et peut se targuer d’une filmographie, certes inégale, mouvementée et changeante, où apparaissent cependant de nombreux grands noms comme Ridley Scott, John Woo, Martin Scorsese, Brian De Palma, Francis Ford Coppola, David Lynch ou encore les frères Coen.
Retour sur la carrière d’un acteur démesuré, fiévreux et un peu oublié mais ô combien attachant.
Le jeune Nicolas est originaire d’une petite ville de l’Illinois, Christopher dans laquelle il est né le 7 janvier 1964. De son véritable nom, Nicolas Kim Coppola est le fils d’August Coppola, professeur de littérature, frère de Francis Ford Coppola, sa mère, Joy Vogelsang, était une danseuse et chorégraphe. Toujours est-il que Nicolas grandit dans une famille d’artistes, son oncle étant le cinéaste du sublime « Parrain » , sa tante n’est autre que Talia Shire et il est aussi le cousin germain de la réalisatrice Sofia Coppola.
Ses parents déménagent à Long Beach, en Californie pour se rapprocher de la famille. Le futur acteur de « Lord of War » est initié très top à la littérature et au cinéma par son père qui l’emmène découvrir la culture environnante à San Francisco alors qu’il a 12 ans.
À l’âge de 15 ans, il intègre, sur les conseils de son père, l’American Conservatory Theater pour s’initier à des cours d’art dramatique, et quitte définitivement l’école à 17 ans.
Impatient de faire découvrir ses talents au monde du showbiz, il monte sur les planches dans « Golden Boy ». Deux ans plus tard, il quitte San Francisco pour la Cité des Anges afin d’achever sa formation et se lancer dans les castings. Malheureusement son nom de famille pèse sur sa carrière et il ne reçoit des propositions qu’à la vue de son patronyme.
Pour ne pas obtenir des rôles par la simple célébrité de son nom, Nicolas Coppola décide de se choisir un pseudonyme pour ne pas freiner sa carrière et justifier son talent par lui-même. Il décide de prendre celui de « Cage » en référence au super-héros Marvel Luke Cage. Il justifie ce choix notamment pour sa sonorité comme il l’explique au Magazine « Les inrocks » : « Luke Cage a été le premier super héros afro-américain à avoir son propre comic book chez Marvel (en 1972). Je ne le lisais pas à l’époque, mais quand je l’ai découvert la sonorité du nom m’a plu. Ce pseudonyme, Cage, m’est donc apparu comme ça, un peu par hasard. Plus tard, j’ai découvert John Cage, le compositeur d’avant-garde. Avec le recul, je me dis que ma vie a toujours été un mélange de Marvel Comics et d’avant-garde. »
Le jeune acteur est en effet un pur produit de la pop culture, collectionnant les comics, idolâtrant Elvis Presley (il se marie d’ailleurs avec la fille du « King », Lisa Marie en 2002), Nicolas Cage est un passionné, un avantage qui lui servira pour certains de ses rôles mais une passion qui lui coûtera aussi des ennuis avec le fisc américain.
Il décroche finalement son premier rôle à la télévision dans « The Best of Time » dans lequel il laisse entrevoir de belles promesses. Une performance qui lui permet finalement de se faire une place au casting de la comédie adolescente « Fast Times at Ridgemont High » en 1982 aux côtés d’un autre futur grand, Sean Penn.
Malheureusement pour le jeune acteur, la plupart de ses scènes sont coupées au montage par Amy Heckerling. Pour se faire un peu d’argent et rester dans le milieu, Nicolas est contraint de vendre du pop-corn.
Il obtient finalement un rôle dans la nouvelle production de son oncle en 1983 dans « Rusty James » mais toujours sous son nom de famille officiel. Un petit film pour le grand Coppola mais un superbe tremplin pour le jeune Cage qui fait ses armes aux côtés de grands noms comme Dennis Hopper, Diane Lane et Mickey Rourke. Une « œuvre mineur » pourtant magnifiquement mise en scène grâce à des batailles de rue chorégraphiées au cordeau et embellie par son traitement en noir et blanc. En donnant la réplique au jeune Matt Dillon, Nicolas Cage offre une interprétation douce et profonde qui va le révéler auprès du grand public.
L’année suivante marque le début de la reconnaissance pour le jeune Cage, il décroche enfin son premier grand rôle sous son nouveau nom de scène dans le film punk romantique « Valley Girl » (1984). Une performance remarquée par son personnage de Randy, punk et amoureux transit d’une jeune fille de bonne famille.
La même année, il joue aussi dans « Les Moissons du Printemps » de Richard Benjamin mais c’est finalement dans « Birdy » d’Alan Parker qu’il reçoit son premier rôle d’envergure. Il interprète un soldat traumatisé revenant du Vietnam et qui tente de faire revenir son ami Birdy à la raison (celui-ci se prend pour un oiseau). C’est le début du style Cage, des cris, des grandes mimiques expressives. Une performance qui lui vaut la reconnaissance de ses pairs et le début d’une popularité internationale grâce au succès du film au Festival de Cannes en 1985. Quelques mois plus tard, il retrouve son oncle Francis pour « Cotton Club » (1984) dans lequel il va démolir une voiture télécommandée afin de percevoir le sentiment de rage que devait exprimer son personnage. Une performance qui alimente encore un peu plus sa filmographie.
On le retrouve deux ans plus tard dans « The Boy in Blue » (1986) de Charles Jarrott pour ensuite une nouvelle fois tourner sous la caméra de son oncle dans le romantique « Peggy Sue s’est mariée ». Sa performance en compagnie de Kathleen Turner lui vaut la reconnaissance critique et publique tout comme la considération des studios.
En 1987, Nicolas Cage joue sous la caméra des frères Cohen dans le cartoonesque « Arizona Junior » L’acteur va jusqu’à s’inspirer du personnage de Woody Woodpecker pour composer son rôle de petit malfrat voulant kidnapper un enfant afin de l’élever avec sa femme. L’acteur offre une performance incertaine mais réelle malgré sa moustache hirsute et ses chemises aux motifs d’un goût douteux.
Il tourne ensuite sous la direction de Norman Jewison dans « Éclair de Lune » pour lequel il reçoit sa première nomination aux Golden Globes. On le retrouve l’année suivante dans « Never on Tuesday » d’Adam Rifkin et en 1989 avec un personnage paranoïaque dans « Embrasse-moi vampire » de Robert Bierman.
Les projets vont ensuite s’enchainer pour le neveu de Francis Ford Coppola, lui qui va même pousser Johnny Depp à signer un contrat chez son agent pour devenir acteur.
Nicolas Cage s’impose dans les années nonante comme l’un des acteurs les plus prometteurs à Hollywood. Il tourne dans « Fire Birds » (1990) de David Green et enchaîne ensuite avec son incarnation d’un Elvis de province dans l’hypnotique « Sailor & Lula » de David Lynch.
Il reçoit en 1993 sa troisième nomination aux Golden Globes pour « Lune de Miel à Las Vegas » (1992) d’Andrew Bergman. Un film dans lequel il offre une performance toute en retenue pour une fois dans la peau de ce détective privé qui doit se battre face à James Caan pour reconquérir sa bien-aimée (Sarah Jessica Parker).
Après une succession de films comme « Deadfall » (1993), « Un ange gardien pour Tess » (1994) et « Milliardaire malgré lui » (1994) ; Nicolas Cage obtient la consécration en remportant le Golden Globe et l’Oscar du « meilleur acteur » pour sa prestation en écrivain alcoolique dans « Leaving Las Vegas » de Mike Figgis en 1995. Une performance incroyable et un succès aux Etats-Unis dans la peau de « scénariste alcoolique » à la dérive qui brûle les meubles et roule en décapotable. Jackpot donc pour l’acteur qui rentre dans la cour des très grands.
Maintenant qu’il peut tout se permettre, Nicolas Cage s’envole pour les grosses productions hollywoodiennes dans lesquels on lui promet un énorme salaire.
Habitué à côtoyer les meilleurs réalisateurs, l’acteur se voit propulser, après sa statuette dorée, héros de films d’action chez Jerry Bruckheimer comme « Rock » (1996) en compagnie du génial Sean Connery. Il faut reconnaître que dans le film de Michael Bay, Cage réussit à trouver sa place entre les charismatiques Ed Harris et l’interprète de James Bond, en jouant davantage de ses dialogues et de ses faciès que de ses muscles.
On le retrouve l’année suivante dans « Les ailes de l’enfer » (1997) de Simon West. Il reconnaîtra d’ailleurs que son personnage de Cameron Poe paré de son marcel est l’incarnation de son idéal de coolitude. Le modèle de son adolescence perdue.
Pourtant l’acteur va cependant s’écarter de son image de héros, sachant habilement intégrer les faiblesses du macho, il endosse régulièrement des rôles plus vulnérables, même si souvent sous couvert de films d’action. Il se fait ainsi greffer le visage de John Travolta dans le cultissime « Volte/Face » de John Woo en 1998. Dans ce rôle à double tranchant, l’acteur redouble d’hystérie et multiplie les faciès incroyables, il est plus convaincant dans la peau de ce terroriste détraqué aux yeux écarquillés et sourire narquois que dans celle d’un gentil flic. Malheureusement le neveu de Coppola va s’enfermer dans ce dernier rôle au fil de sa carrière à venir.
Nicolas Cage, devient ensuite un ange tombé du ciel dans « La cité des anges », remake des « Ailes du désir », incarne un flic véreux chargé d’une enquête impossible dans le superbe « Snake eyes » de Brian De Palma. Le comédien marque ainsi son grand retour chez un cinéaste d’envergure et y livre une prestation d’une belle intensité en flic berné et paumé qui n’a rien vu alors qu’un assassinat vient de se dérouler sous ses yeux.
Malheureusement, il retombe pourtant dans ses travers en acceptant un rôle dans le nouveau film de Joel Schumacher dans le décevant « 8 mm » où il déjoue les plans d’un magnat du snuff-movie.
Il va connaître un nouvel échec commercial en tournant pour la première fois sous la direction de Martin Scorsese, dans le rôle d’un ambulancier en quête de rédemption dans « A Tombeau Ouvert » en 1999. Un film aussi marquant que les derniers films de Fritz Lang ou de Jean-Luc Godard. Une œuvre trop souvent oubliée dans la filmographie du réalisateur qui mérite pourtant toute votre attention de par sa mise en scène virtuose et la brillante prestation de Nicolas Cage aussi fou que magnifiquement touchant.
En ce début de nouveau millénaire, Nicolas Cage est toujours une figure bien installée à Hollywood. Il décide d’abord de voler des voitures aux côtés d’Angelina Jolie dans l’oubliable « 60 secondes chrono » de Dominic Sena.
Pour ensuite tourner dans quelques films rarement très réussis, il se transforme en requin de la finance qui devient père de famille malgré lui dans le divertissant « Family Man » de Brett Ratner, sorte de remake moins flamboyant de « La Vie est Belle » de Frank Capra. On le retrouve après en amoureux transit en compagnie de Penelope Cruz dans le romantique « Capitaine Corelli » de John Madden
En 2002, cinq ans après « Volte/Face », il retrouve le cinéaste John Woo pour le très beau film de guerre « Windtalkers » (« Les Messagers du Vent »), un excellent film qui prouve que Nicolas est encore capable d’offrir de superbe prestation lorsqu’il est bien dirigé.
Nicolas Cage se découvre ensuite des envies de metteur en scène en passant derrière la caméra et réaliser son premier long métrage avec « Sonny ». Un drame dans lequel il filme James Franco en ex-délinquant en voie de rédemption, tandis que sa maman, tenancière d’une maison, voudrait qu’il reprenne du métier. Sans faire un flop, le film n’a pas marqué les mémoires et n’est même pas sorti en France.
Il est ensuite à l’affiche du tortueux « Adaptation » de Spike Jonze pour lequel il reçoit une nouvelle nomination aux Golden Globes et sa seconde nomination aux Oscars.
Il s’amuse ensuite en arnaqueur obsessionnel en compagnie de Sam Rockwell dans le divertissant « Les Associés » de Ridley Scott.
En 2004, il ajoute une nouvelle corde à son arc en étant l’aventurier de « Benjamin Gates et le Trésor des Templiers », sorte de héros hollywoodien propre sur lui qui ressemble beaucoup à Indiana Jones, le souffle épique, la prestance d’Harrison Ford et la maestria de Spielberg en moins bien sûr. Un long métrage divertissant et un joli succès au Box-Office qui accouchera d’une suite aux recettes équivalentes en 2008 avec « Benjamin Gates et le livre des secrets ».
Nicolas Cage renoue avec le succès critique en 2005 dans le sublime « Lord of War » réalisé par Andrew Niccol, scénariste derrière le cultissime « The Truman Show ». Dans ce pamphlet criant de vérité et qui frappe où cela fait mal, Cage interprète brillamment Yuri Orlov, un marchand d’armes traqué par le FBI et Ethan Hawke. Gorgé de phrases chocs plus véridiques les unes que les autres, le long métrage est une œuvre exquise sur l’abjection et le capitalisme.
Un petit bijou d’ironie qui glace le sang porté par les sublimes prestations tout à fait oscarisables de Nicolas Cage et Jared Leto.
Hormis une jolie parenthèse avec « The Weather Man » chez Gore Verbinski et son rôle de pompier dans le puissant « World Trade Center » d’Oliver Stone, Nicolas Cage a succombé à la mode du film d’action avec « Next », des super-héros avec l’oubliable « Ghost Rider », ainsi qu’aux films de science-fiction avec « Prédictions » d’Alex Proyas ou du pseudo-fantastique avec le décevant « The Wicker Man ».
Après son rôle de tueur dans « Bangkok Dangerous » qui laissait présager la terrible impression d’un acteur en fin de cycle et enchaînant les catastrophes cinématographiques, on a cru au vrai retour de Nicolas Cage dans « Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans » de Werner Herzog en 2010. Dans ce faux-remake du magnifique « Bad Lieutenant » avec Harvey Keitel, Cage offre une performance convaincante dans la peau de ce flic toxicomane qui bafoue toutes les règles. Un rôle assez « impressionniste » selon lui, pour lequel il a dû puiser dans son passé, se reconnecter à des sensations vieilles de 20 ans. Malheureusement pour lui, le film n’aura connu qu’un succès médiocre au Box-Office.
Il se transforme ensuite en vengeur masqué dans l’excellent « Kick-ass » de Matthew Vaughn dans lequel il laisse place à sa fureur mais aussi à sa tendresse dans le rôle de ce père de famille prêt à tout pour se venger.
Ayant depuis 2009 des problèmes avec le fisc américain qui lui réclame plus de 14 millions de dollars, Nicolas Cage décide de jouer dans des productions qui lui assure une rentrée d’argent. On ne peut pas dire qu’il a le nez fin en jouant notamment dans « L’Apprenti Sorcier » et « Le Dernier des Templiers », rôle dont il est le plus fier selon lui : « C’est un film que je voulais absolument faire, dans l’esprit de certains films de Roger Corman avec Vincent Price, comme The mask of the red death ».
Le temps est finalement bien cruel avec Nicolas Cage, il n’est plus que l’ombre de lui-même, ses ennuis financiers ne lui procurent que des œuvres abonnées aux rayons des vidéos clubs comme « Hell Driver », « Le Pacte », « Ghost Rider : L’Esprit de Vengeance », « Effraction » et tant d’autres. L’acteur est de moins en moins appelé par les grands studios et les bons cinéastes.
Il s’oriente progressivement vers la série B dans lesquelles il peut encore espérer tenir des premiers rôles, des productions direct-to-video oubliables quand elles ne sont pas embarrassantes.
Pourtant à de rares exceptions, la lueur d’espoir de revoir le grand Nicolas Cage existe toujours. Notamment en 2013, dans l’excellent « Joe » de David Gordon Green où Cage livre une prestation sidérante, féroce et superbe dans la peau de cet ex-taulard chargé avec quelques soldats de fortune d’empoisonner des arbres que la loi empêche d’abattre.
En 2016 aussi dans « Snowden » d’Oliver Stone dans lequel le comédien fait son grand retour au cinéma dans un rôle secondaire mais ô combien rafraîchissant.
On peut citer le tout récent « Mandy » (2018) de Panos Cosmatos. Un véritable trip hallucinatoire malheureusement sorti en DVD chez nous et qui aurait mérité une diffusion dans les salles.
En 2019, le comédien est également apparu dans plusieurs productions qui n’ont pas connu les joies d’une sortie en salles avec notamment « The Colour out of Space » tirée d’une nouvelle de Lovecraft.
En 2019, le comédien est également apparu dans plusieurs productions qui n’ont pas connu les joies d’une sortie en salles avec notamment « The Colour out of Space » tirée d’une nouvelle de Lovecraft.
En 2021, l’acteur oscarisé retrouve cependant un peu de sa superbe avec trois long-métrages qui sortent durant la pandémie avec « Willy’s Wonderland », « Prisoners of the Ghostland » mais surtout « Pig » de Michael Sarnoski dans lequel il interprète celui d’ancien chef culinaire célèbre de Portland qui de tout plaquer pour aller vivre comme un ermite dans les forêts de l’Oregon avec son cochon truffier. Un vraie beau rôle pour Nicolas Cage plein d’épaisseur, qui prouve que l’acteur est encore un formidable interprète avec une belle densité de jeu.
En 2022, le comédien jouera même son propre rôle dans la comédie « Un talent en or massif » prévue pour avril. Preuve si l’en est encore que Nicolas Cage ne fait rien comme tout le monde.
Lauréat d’un Oscar, Nicolas Cage est véritablement un acteur à part dans le paysage cinématographique hollywoodien. Le comédien a toujours donné le meilleur de lui-même dans chacun de ses rôles dans lesquels il tente d’imposer chaque performance dans un contexte ou un genre qui tend à l’étouffer.
L’acteur fait partie intégrante de notre imaginaire collectif de par sa folie et ses mimiques cultissimes. Un comédien qui peut tout jouer comme le prouve « Leaving Las Vegas », « Volte/Face », « Lord of War », et plus récemment « Joe » et « Mandy ».
Nicolas Cage manque aux salles obscures et on espère que la période de cachetonage va bientôt se terminer afin de revoir très vite ce visage expressif sur les écrans de cinéma et qui sait, peut-être un jour chez Tarantino.
Julien Legrand – Mise à jour le 7 janvier 2022
Sources :
Ride the lightning Metallica Des mélodies Heavy metal, des rythmes nerveux issus du punk, des
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