L’américanisation des films de Luc Besson lui avait déjà joué des tours avec « Valérian » qui arrivait trop tard après les autres « Space Opéras » américains, le réalisateur aurait été mieux inspiré en gardant la trame de ce qui avait fait son succès …sa spécificité française ; ici il en va de même ; faire un film en langue anglaise et il sera inévitablement comparé aux autres films en langue anglaise.
Au final, « Anna » est un film d’action dans l’air du temps que les fans de Besson apprécieront, quant aux autres ils chercheront le sens des choses sous chaque Matriochka qu’ils ouvriront…Aussitôt vu, aussitôt oublié.
Note : 5/10
Yves Legrand – Le 8 juillet 2019