« The Fabelmans », ce n’est pas tout à fait sa famille (même si le héros a des sœurs, une mère qui joue du piano …), pas tout à fait son histoire (même si Samuel est le vrai prénom hébraïque de Steven), pas tout à fait la genèse de sa vocation.
Spielberg fait aussi le choix de placer sa mise en scène résolument très classique en retrait d’une narration impeccable (quoique linéaire) soulignée par une musique signée John Williams (avant-dernière avant « Indiana Jones 5 » puis il arrêtera… encore un grand merci pour toutes ces sublimes mélodies John) mais ce récit d’apprentissage est aussi l’obsession d’un enfant pour le Septième Art et sa passion immodérée pour raconter des histoires qu’il souhaite voir appréciées par d’autres sur grand écran…