Mais « La guerre de demain » n’est pas un faux film de propagande qui soutient un authentique pamphlet antimilitariste comme l’était l’œuvre du cinéaste hollandais, le long métrage porté par Chris Pratt (pour la première fois dans le costume de producteur), ne soutient aucune cause patriotique, au contraire face à cet ennemi, venu d’ailleurs, une union internationale a été formée.
Le scénario de Zach Dean pourrait même être perçu en 2 trames narratives distinctes, une première en 2051 dans la chaleur des îles et qui se termine par un clin d’œil à « Aliens » de James Cameron, la seconde qui se développe en 2022 et trouve une conclusion (avec de sublimes images) dans les neiges du cercle arctique.