On aura tout vu et tout connu des immenses aventures du plus grand détective imaginé par Sir Arthur Conan Doyle, des films, des séries et des jeux vidéo. Il était donc normal que les sociétés de productions explorent un peu plus loin l’univers du détective préféré de sa Majesté.
C’est là qu’intervient la série de romans policiers écrits par Nancy Springer publiés à partir de 2006, un vrai succès littéraire qui s’est traduit par une édition en BD. Rien d’étonnant donc à ce que le médium cinématographique ne l’adapte.
Une transposition à l’écran produite par Warner et Legendary Pictures qui a connu les répercussions de la pandémie du Covid-19 et qui est donc récupéré par le mastodonte Netflix dans l’éventualité d’une fructueuse licence.
Emmené par la star de « Stranger Things », Millie Bobbie Brown également productrice, l’homme d’acier et sorceleur Henry Cavill et l’excellent Sam Claflin (aperçu dernièrement dans « Peaky Blinders »), « Enola Holmes » nous promettait une jolie aventure à taille d’adolescente en quête de sa mère. Le début d’une nouvelle licence pour la plateforme ?