Synopsis :
Wen, sept ans, et ses parents, Eric et Andrew, passent leurs vacances dans une cabane isolée sur un lac tranquille du New Hampshire. Aucun voisin à des kilomètres. Un après- midi, tandis que Wen (Kristen Cui) tente d’attraper des sauterelles dans le jardin, un étranger lui apparaît. Léonard (David Bautista) est l’homme le plus imposant qu’elle ait jamais vu, mais il est amical et elle le trouve sympathique. Ils discutent et jouent ensemble jusqu’à ce qu’il lui dise : « Rien de ce qui va se passer n’est ta faute ». Trois inconnus étrangement armés surgissent à leur tour des bois. Wen se précipite dans la cabane pour prévenir ses parents, Léonard l’interpelle : « Tes pères ne voudront pas nous laisser entrer, Wen. Mais il le faut. Dis-leur qu’ils le doivent. Nous ne sommes pas venus pour vous faire du mal. Nous avons besoin de votre aide pour sauver le monde. S’il te plaît ! »
« Knock at the Cabin », c’est le nouvel impossible choix sorti de l’esprit torturé de M. Night Shyamalan (le récent « Old », mais aussi « Signs », « Incassable », « Split », « Sixième Sens »).
Un réalisateur très en vogue jusqu’ à son échec avec « Le dernier maître de l’air » et qui depuis s’est plutôt orienté vers des thrillers psychologiques empreints de mystère ou de fantastique. Dans « Old » c’était un vieillissement accéléré qui servait de prétexte à une étude des comportements. Dans « Knock at the Cabin » emmené par le désormais très connu Dave Bautista (« Dune », « Glass Onion ») Jonathan Groff (« Hamilton », « Mindhunter »), Nikki Amuka-Bird (« Persuasion », « Old », nommée aux BAFTA) et Ben Aldridge (« Pennyworth », « Fleabag ») ce n’est rien de moins que la fin du monde qui est au programme…