Synopsis :
Leo Castaneda (Antonio de la Torre) un espagnol vivant à Bruxelles, où il est conducteur de métro sur la ligne 6 ; aperçoit, un soir, un jeune homme au bord du quai. Des yeux fiévreux de détresse, un visage qui lui semble familier… mais l’adolescent saute sur les rails ! Leo va découvrir que c’est son fils Hugo qu’il n’avait pas revu depuis plus de deux ans ! Il va petit à petit relier ce qu’il s’est passé à un braquage sanglant et devoir affronter de violents criminels pour tenter de comprendre les raisons de la mort de son fils…
« Entre la vie et la mort » n’est pas un thriller stricto sensu mais plutôt un polar sombre dans la veine des films de Jean-Pierre Melville dont Gederlini, le réalisateur, est un passionné et auquel la mise en scène, tournée entre chiens et loups (par le directeur photo Christophe Nuyens « Lupin ») rend un bel hommage. Antonio de la Torre est l’énigmatique conducteur de métro au centre d’une enquête policière complexe, menée par Virginie (Marine Vacth à l’affiche aussi en 2022 de « Mascarade » de Nicolas Bedos et de « Novembre » de Cédric Jimenez) sous la direction pas nécessairement bienveillante de son commissaire (Olivier Gourmet qu’on retrouvera aussi deux fois cette année dans « Couleurs de l’incendie » de Clovis Cornillac » et « Simone, le voyage du siècle » d’Olivier Dahan).