Synopsis :
Taram, un jeune porcher, apprenti du mage Dalben, vit au pays enchanté de Prydain. Rêvant de chevalerie et d’exploits, il apprend de son vénérable Maître l’existence du Chaudron Magique qui, doté de puissants pouvoirs de contrôle du monde entier reste introuvable à ce jour. Et pour cause, le Seigneur des Ténèbres le convoite jalousement… Pourtant, Tirelire, la petite cochonne qui prédit l’avenir, révèle sans mal à notre jeune héros, l’emplacement du précieux réceptacle. Taram se jure aussitôt de le protéger. Commence alors pour les deux compagnons une belle aventure aux mille dangers et autant de rencontres : de Gurki (un curieux petit personnage tout en poils, amateur de pommes, couard et astucieux) à la belle princesse Eilonwy et son ménestrel Ritournel en passant par le Seigneur des Ténèbres affublé de Crapaud, son pleutre valet pleurnichard…
- Du rififi dans les studios :
Alors qu’il vient de terminer l’écriture de sa saga (1964 – 1968), Lloyd Chudley Alexander voit les droits de ses romans être rachetés par la firme Disney en 1971 alors en pleine mutation suite au décès de son fondateur Walt Disney. Le studio est renommé The Walt Disney Company suite aux changements de son comité directeur.
« Taram et le Chaudron Magique » est un vrai tournant pour la société aux grandes oreilles surtout au niveau de l’animation, puisqu’il s’agit de la première œuvre à être prise en charge par une toute nouvelle génération d’animateurs. Celle qui vient d’achever le superbe « Bernard et Bianca ».
Le projet va rester en gestation pendant plus de 10 ans après l’acquisition car adapter cinq volumes de Dark Fantasy et plus de 30 personnages importants en un seul long métrage est un travail titanesque, demandez à Peter Jackson ce qu’il en pense. Pourtant l’œuvre de Lloyd