UN DOIGT DANS LE CULTE
because you should watch these movies
nos articles Films Cultes

Critique « Miami Vice » (2006) : Business Man(n).
En 2006, Michael Mann prouvait qu’il adorait ressasser le passé en adaptant sur grand écran sa célèbre série télévisée (il était producteur exécutif) des années 80, « Miami Vice ».
La critique de ce polar crépusculaire et stylistique parfaitement maitrisé.

Critique « Calvaire » (2005) : L’horreur ardennaise.
« Calvaire » est le premier long-métrage du cinéaste belge Fabrice du Welz, un voyage implacable qui marque le corps et l’esprit. Une expérience riche, unique, viscérale et sensorielle, à la fois monstrueuse et irrésistible.

Critique « Scarface » (1983) : Cuban Paradise
« Scarface » de Brian De Palma et porté par un Al Pacino possédé apparaît aujourd’hui comme un film culte qui bénéficie d’une aura indiscutable. Le film fut pourtant décrié à sa sortie américaine en décembre 1983.

Critique « Le Pacte des loups » (2001) : Un pari risqué.
Avec « Le Pacte des loups », Christophe Gans signait un véritable OVNI dans le paysage cinématographique français qui marqua le début des années 2000.

Critique « Bad Lieutenant » (1992) : Good Cop, Bad Cop.
« Bad Lieutenant » est sans aucun doute un véritable film culte des années 90 porté par Harvey Keitel qui y livre l’une de ses meilleures interprétations.

Critique « Faux-semblants » (1988) : Jamais sans mon frère.
Dix ans après son premier long métrage, le cinéaste anglais Adrian Lyne change à nouveau de registre en nous proposant un film d’ « horreur psychologique » mettant en scène la mise en abîme d’un ancien soldat du nom de Jacob Singer.

Critique « L’Etrange Histoire de Benjamin Button » (2008) : Compte à rebours d’une histoire d’amour.
Après son fabuleux et en angoissant « Zodiac » en 2007, David Fincher revenait en 2008 avec « L’Etrange Histoire de Benjamin Button », un mélodrame tiré d’une nouvelle de F. Scott Fitzgerald et une œuvre à part dans sa filmographie plutôt homogène.

Critique « L’échelle de Jacob » (1990) : Plongée dans les limbes.
Dix ans après son premier long métrage, le cinéaste anglais Adrian Lyne change à nouveau de registre en nous proposant un film d’ « horreur psychologique » mettant en scène la mise en abîme d’un ancien soldat du nom de Jacob Singer.