Because you should watch these movies
Voici les films qui ont marqué l’histoire du cinéma.
« Turks fruit » de Paul Verhoeven est l’adaptation à l’écran du roman éponyme de Jan Wolkers, paru en 1969. Le premier succès du cinéaste derrière « RoboCop ». Une oeuvre qui s’inscrit très clairement dans le contexte contestataire et libertaire qui envahit l’Europe de l’Ouest dès la fin des années soixante. Retour sur un film culte.
« Night Call », le premier long métrage de Dan Gilroy est un pamphlet satirique sur le monde des reporters amateurs. Un thriller porté par la folie d’un Jake Gyllenhaal survolté (et producteur) qui lui vaudra une nomination aux Golden Globes.
Retour sur une œuvre aussi effrayante qu’actuelle.
En 2006, Michael Mann prouvait qu’il adorait ressasser le passé en adaptant sur grand écran sa célèbre série télévisée (il était producteur exécutif) des années 80, « Miami Vice ».
La critique de ce polar crépusculaire et stylistique parfaitement maitrisé.
« Calvaire » est le premier long-métrage du cinéaste belge Fabrice du Welz, un voyage implacable qui marque le corps et l’esprit. Une expérience riche, unique, viscérale et sensorielle, à la fois monstrueuse et irrésistible.
« Scarface » de Brian De Palma et porté par un Al Pacino possédé apparaît aujourd’hui comme un film culte qui bénéficie d’une aura indiscutable. Le film fut pourtant décrié à sa sortie américaine en décembre 1983.
Avec « Le Pacte des loups », Christophe Gans signait un véritable OVNI dans le paysage cinématographique français qui marqua le début des années 2000.
« Bad Lieutenant » est sans aucun doute un véritable film culte des années 90 porté par Harvey Keitel qui y livre l’une de ses meilleures interprétations.
Avec « Faux-semblants », David Cronenberg signe un chef d’œuvre aux tonalités glaçantes, une plongée oppressante dans un univers bouleversant.
Après son fabuleux et en angoissant « Zodiac » en 2007, David Fincher revenait en 2008 avec « L’Etrange Histoire de Benjamin Button », un mélodrame tiré d’une nouvelle de F. Scott Fitzgerald et une œuvre à part dans sa filmographie plutôt homogène.
Dix ans après son premier long métrage, le cinéaste anglais Adrian Lyne change à nouveau de registre en nous proposant un film d’ « horreur psychologique » mettant en scène la mise en abîme d’un ancien soldat du nom de Jacob Singer.