UN DOIGT DANS LE CULTE
because you should watch these movies
nos articles Films Cultes
Critique « TURKS FRUIT » (« Turkish Délices ») (1973) : Bons Baisers de Hollande.
« Turks fruit » de Paul Verhoeven est l’adaptation à l’écran du roman éponyme de Jan Wolkers, paru en 1969. Le premier succès du cinéaste derrière « RoboCop ». Une oeuvre qui s’inscrit très clairement dans le contexte contestataire et libertaire qui envahit l’Europe de l’Ouest dès la fin des années soixante. Retour sur un film culte.
Critique « Night Call » (2014) : « Profession Reporter ».
« Night Call », le premier long métrage de Dan Gilroy est un pamphlet satirique sur le monde des reporters amateurs. Un thriller porté par la folie d’un Jake Gyllenhaal survolté (et producteur) qui lui vaudra une nomination aux Golden Globes.
Retour sur une œuvre aussi effrayante qu’actuelle.
Critique « Miami Vice » (2006) : Business Man(n).
En 2006, Michael Mann prouvait qu’il adorait ressasser le passé en adaptant sur grand écran sa célèbre série télévisée (il était producteur exécutif) des années 80, « Miami Vice ».
La critique de ce polar crépusculaire et stylistique parfaitement maitrisé.
Critique « Calvaire » (2005) : L’horreur ardennaise.
« Calvaire » est le premier long-métrage du cinéaste belge Fabrice du Welz, un voyage implacable qui marque le corps et l’esprit. Une expérience riche, unique, viscérale et sensorielle, à la fois monstrueuse et irrésistible.
Critique « Scarface » (1983) : Cuban Paradise
« Scarface » de Brian De Palma et porté par un Al Pacino possédé apparaît aujourd’hui comme un film culte qui bénéficie d’une aura indiscutable. Le film fut pourtant décrié à sa sortie américaine en décembre 1983.
Critique « Le Pacte des loups » (2001) : Un pari risqué.
Avec « Le Pacte des loups », Christophe Gans signait un véritable OVNI dans le paysage cinématographique français qui marqua le début des années 2000.
Critique « Bad Lieutenant » (1992) : Good Cop, Bad Cop.
« Bad Lieutenant » est sans aucun doute un véritable film culte des années 90 porté par Harvey Keitel qui y livre l’une de ses meilleures interprétations.
Critique « Faux-semblants » (1988) : Jamais sans mon frère.
Avec « Faux-semblants », David Cronenberg signe un chef d’œuvre aux tonalités glaçantes, une plongée oppressante dans un univers bouleversant.